Comment vas-tu, Jean-Philippe ?

Cher Monsieur des zimpôts, Tu ne m’as pas donné de nouvelles depuis un certain temps. L’année dernière tu as été obligé de me rendre des sous, et j’ai peur que tu aies été vexé. Dis, tu ne boudes pas, des fois ? Tu sais, Jean-Philippe (allez on va arrêter les coquetteries, les voussoiements, nous sommes deux ...

Today’s my lucky day !

Chère galaxie, il n’y aura jamais de pub sur le Beulogue (même si j’avais soudain le temps de m’en occuper), je vais d’ailleurs arrêter toutes ces conneries de billets non sponsorisés et d’écriture de livres où je touche même pas quarante-douze miyards : aujourd’hui, j’ai reçu l’offre d’une vie ! Je suis riiiiiiiiiiiiiiiiche, riiiiiiiiiiiiiiiiiiche ! Regarde un peu ...

Cher Monsieur des Zimpôts (oui c’est encore moi)

Je ne pensais jamais que vous et moi deviendrions si intimes, mais je suis ? deux doigts de vous ouvrir une rubrique rien qu’? vous.

Cher Monsieur des zimpôts

Ça fait plusieurs fois déj? que je vous écris. Et que vous me répondez moyennement. Si je puis me permettre.

Cher Monsieur le Contrôleur des zimpôts (bis)

Cher Monsieur le Contrôleur des Zimpôts. Il y a quelques mois, je vous avais adressé un courrier, qui, en plus d’être écrit avec une verve équilatérale et une pédagogie moletonnée, avait le mérite de poser très simplement cette vérité incontestable : je travaille pour avoir des sous. J’aimerais bien les garder. Au vu de votre réponse ...